Le Ramadân fini et les clairs de lune revenus, Damas offrait des nuits féeriques. Si un imbécile m’empêcha de monter sur la Grande Mosquée pour admirer ces tableaux, je me consolai en allant voir sous l'éclairage merveilleux toutes les autres : la Djâmi es-Sandjakdâr, la Djâmi el-Kharrâtin, la Djâmi es-Sinâniyé, aux faïences vertes, la Djâmi ed-Djâhiyé, la mosquée des Platanes et la mosquée des Roses.
André Geiger. Syrie et Liban 1932 (p.194).
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