Escortée par deux officiers chérifiens, je parvins à me faufiler dans la cohue, à passer le pont sous des arcs de triomphe de verdure et de fruits, puis à gagner l’autre rive et le sérail, importante construction moderne où l’émir Fayçal reçoit les hommages de ses sujets et prononcera un discours.
Sous le péristyle, je rencontre un vieil ami, Toufik Tarik Bey, le premier et l’unique peintre de Damas, très parfumé, comme au reste les officiers, le parfum étant le language secret de la joie...
Myriam Harry. Damas, jardin de l'Islam. J. Ferenczi & Fils 1948.
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